Un carnet de liaison à l’école, comme au collège.

26/6/11 ajout de 2 nouvelles rubriques : Aide personnalisée et Etat des Livres Prêtés

J’ai emprunté son carnet de liaison à mon jeune collégien de fils. Je trouve qu’il est rempli d’informations intéressantes.

Dans l’école « de mes rêves » les élèves auraient, EN PLUS de leur cahier de liaison (où on collerait les « mots » habituels) un carnet (glissé dans le protège cahier ou collé sur la couverture).

Intérêts :

1. Economiser du papier puisque le carnet est imprimé en recto verso.
2. Gagner du temps en début d’année (au lieu de donner plein de mots et de fiches volantes ou collées, on donnerait juste le carnet).
3. Utiliser le principe du « carnet à souche » pour les absences.
4. Donner une forme plus « pro » à la communication avec les parents.

Je vous mets donc en ligne un document Word, adaptable à chaque école, contenant les pages suivantes :

Un extrait du règlement (je ne sais pas si c’est partout comme le Loiret, mais on nous  imposé un règlement départemental super long et insipide que les parents ne lisent plus).

Bref, ici, il y aurait un rappel des horaires, de « que faire en cas d’absence » et des choses qu’il est interdit d’apporter à l’école.

L‘autorisation de prise en photos, avec autant de lignes que de types de photos envisagées.

Une page où on note l’état et le numéro de série des livres prêtés en début d’année… et où on vérifie l’état restitué en fin d’année (sur une idées géniale, formidable et inspirée des Saperlipopettes)

Une fiche sortie que l’enseignant n’a plus qu’à découper et emporter avec lui à chaque sortie.

  Deux pages que les parents signent en début d’année pour donner leur accord de principe sur la participation de leur enfant à l’aide personnalisée... et que l’on remplit ensuite à chaque séquence d’aide proposée.
(Page suggérée par Glayeul, l’idée ayant d’ailleurs été mise en oeuvre par l’école où j’enseignais l’an dernier : moins de paperasse = très pratique)

2 pages de billet d’absence, avec talon. Les parents remplissent les deux (talon + partie détachable), à chaque absence. Cela sert de justificatif.

La partie détachable est conservée par l’enseignant et le talon reste dans le cahier, pour faire rapidement le point sur les absences d’un élève.

Un « journal » des retards. Pour que les petits retards fréquents se « voient » et laissent une trace.

Une check-list du contenu de la trousse, à vérifier à chaque vacances (oups, j’ai oublié le -s à vacances dans le doc : à corriger).

Des petits billets « SOS matériel« .

Quand un élève n’a plus de colle (ou de stylo bleu, ou de gomme, ou…), il remplit le talon et colle le timbre dans son cahier de texte pour mieux se souvenir de se rééquiper.

Remarque : si l’idée vous tente, Kalo a eu la même idée (avant moi)ici.

Pour ne pas dégainer les punitions systématiquement, mais néammoins garder une trace d’un dérapage et avertir la famille, je trouve que le système de « tableau de vie de classe » (directement pompé sur le carnet de liaison du collège de mon fils) est drôlement approprié.

A chaque maitre de l’adapter à sa pratqiue, de choisir ce qu’il y consigne…

Là c’est mon « dada ».

Plus ça va, plus je déteste les bulletins avec méga liste de compétences de trois page horribles à remplir et qui ne donnent ps du tout aux parents une vision synthétique du niveau de leur enfant.

Bref, puisque c’est obligatoire, allons-y pour le détail des compétences, mais une fois par an.

Le reste du temps, si je peux, je m’en tiendrai à un bulletin plus fréquent mais beaucoup plus « littéraire », avec mes mots à moi. J’ai gardé une colonne pour mettre… comme vous voulez, un rond vert, une lettre, une moyenne sur 10, un carré…

En 4ème de couverture, un rappel « pratique » : les dates des vacances, les coordonnées de l’école…

Et voilà.

Si ça vous intéresse, je vous le mets, bien sûr,  en fichier modifiable :

Remarque 1 : Il y a plein de pages blanches. C’est normal, elles sont au dos d’une page qui se détache ou se découpe.

Remarque 2 : les pages « détachables » sont toujours sur des pages impaires (pages de droite dans le livret, donc). Pour votre culture perso, j’utilise la fonction « saut de section page impaire » de Word.

Remarque 3 : La dernière page, pour être sur la couverture, devra être une page paire et divisible par 4 (ici c’est 32, mais si vous enlevez ou rajoutez des pages, attention à ce détail.

Remarque 4 : Le tout est destiné à être imprimé avec l’option « livret » de votre imprimante (Gné ? cliquez ici pour en savoir plus, point 3.2). Ca sort, il n’y a plus qu’à attraper la liasse et à la plier en deux, tout bien paginé comme il faut.

Remarque 5 : j’ai publié le document en format Word modifiable ce qui  présente l’inconvénient de chambouler la mise en page si vous n’avez pas mes polices. De mon côté, j’avais utilisé la police Père Castor pour les titres de page, et Century Gothic pour le reste du document.